vendredi 31 octobre 2014
jeudi 30 octobre 2014
mercredi 29 octobre 2014
LA FAMEUSE AGENCE (1)
"LA FAMEUSE AGENCE " est une série de dessins à l'encre destinés à composer une histoire en images.
Il s'agit de raconter les aventures à connotation policière d'un tandem :
Le comte Coic de Garenne et de Monsieur No Nein, héros de mésaventures picaresques , surréalistes voire ubuesques.
J'ai entamé ce travail il y a un peu plus d'un an .
A ce jour , l'élaboration et la création d'un album qui racontera les pérégrinations des deux protagonistes de la fameuse agence est toujours en travail.
Voici les deux protagonistes:
Il s'agit de raconter les aventures à connotation policière d'un tandem :
Le comte Coic de Garenne et de Monsieur No Nein, héros de mésaventures picaresques , surréalistes voire ubuesques.
A ce jour , l'élaboration et la création d'un album qui racontera les pérégrinations des deux protagonistes de la fameuse agence est toujours en travail.
Voici les deux protagonistes:
Le Comte Coic de Garenne dans son bel âge
( portrait officiel suspendu dans la grande salle d'apparat du Manoir de Garenne)
Grand amateur de thé, le Comte a exercé de nombreuses activités dont celle de gourou extrêmement célèbre et courtisé par les artistes et les grands de ce monde ,dans un ashram en Californie avant qu'il ne rejoigne un cirque allemand. Ce cirque traverse toute l'Europe .C'est ici que le comte a retrouvé l'anonymat . Il y fait au sens littéral : le clown à chaque représentation.
Monsieur No Nein
Capable de se nourrir de pommes qu'elles soient crues ou cuites jour après jour
NO est un ex-enfant sauvage. Porter des vêtements reste totalement anecdotique pour lui. Il préfère aller nu autant que faire se peut.
Par contre il adore les chapeaux et change de couvre-chef en toute occasion.
Enfant trouvé, il a vécu depuis peu après sa naissance
au sein de la troupe du cirque qui l'a accueilli
et il y met à profit ses talents d'acrobate et de trapéziste.
Son comportement taciturne que d'aucun décrirait comme une forme d' autisme léger puis sa propension à utiliser la forme négative dans la construction
de ses phrases incitèrent très tôt ses parents adoptifs Monsieur et Madame Nein,
aujourd'hui décédés, originaire de Kein-Nicht,délicieux et pittoresque village bavarois,
à le prénommer définitivement: NO.
A suivre...
(dessins à l'encre et textes de François Ascencio - copyright 2014)
mardi 28 octobre 2014
dimanche 26 octobre 2014
samedi 25 octobre 2014
jeudi 23 octobre 2014
dimanche 19 octobre 2014
mercredi 15 octobre 2014
mardi 14 octobre 2014
LE CALENDRIER (25)
Sur le tableau " ÉPILOGUE" figure le fin tracé d'un rectangle dessiné au crayon vert pâle.
Cette forme géométrique agit comme une fenêtre , un passage.
Cette ouverture mène à un au-delà transcendantal.
Le tableau dans sa version définitive en 2013 était accompagnée d'un petit tableau intitulé SUMMUM.
SUMMUM était la réponse et la suite à "ÉPILOGUE": l'ouverture sur un devenir.
L'homme( et ou ses reliques) est devenu homme ressuscité dans une dimension apaisée.
Il est reconstruit. Ses facultés et ses dons sont alors multipliés.
Est-ce la naissance du surhomme cher à Nietzsche où bien celle d'un Super héro?
La réponse n'est pas donné implicitement . Et le fond quadrillé évoque un monde virtuel.
Le tableau joue sur l’ambiguïté et le temps qui passe....en trois couches:
l'homme dans la lumière diffuse du fond, le fond quadrillé et le cadre doré.
Trois états, trois temps, trois évolutions
dimanche 12 octobre 2014
LE CALENDRIER (24)
EPILOGUE
Ce tableau est la conclusion de la série du CALENDRIER. L'être humain a quasiment disparu. Seule demeure l'empreinte du corps derrière un petit meuble.En l'occurrence il s'agit d'un reliquaire que j'ai inventé
Une calice, des bocaux, des coupelles et une petite boite sont méticuleusement posés sur les étagères. Chaque récipient contient un reste - une relique- de ce corps désormais absent.
Vase canope, transsubstantiation, dissection, cabinet de curiosité sont les mots associés à cette mise en scène.
Le préfixe EX latin ( hors de) , positionné tête-bêche nomme le tableau et stigmatise sa position finale comme un dos de couverture de l'hypothétique CALENDRIER.
EPILOGUE- (EX)
Recherches de typo pour les lettres EX
Ce tableau est la conclusion de la série du CALENDRIER. L'être humain a quasiment disparu. Seule demeure l'empreinte du corps derrière un petit meuble.En l'occurrence il s'agit d'un reliquaire que j'ai inventé
Une calice, des bocaux, des coupelles et une petite boite sont méticuleusement posés sur les étagères. Chaque récipient contient un reste - une relique- de ce corps désormais absent.
Vase canope, transsubstantiation, dissection, cabinet de curiosité sont les mots associés à cette mise en scène.
Le préfixe EX latin ( hors de) , positionné tête-bêche nomme le tableau et stigmatise sa position finale comme un dos de couverture de l'hypothétique CALENDRIER.
EPILOGUE- (EX)
1993
(technique mixte sur bois aggloméré)
200x150
jeudi 9 octobre 2014
LE CALENDRIER (23)
Le mois de Décembre
En latin, le mot décembre signifie dixième mois de l'année mais c'est le douzième dans notre calendrier actuel.
DÉCEMBRE est plein d'humour et d'ironie. il est complémentaire au tableau "NOVEMBRE".
L'utilisation du vert sombre est à nouveau présente.Le fond du tableau est composé d'un kimono japonais vert sombre étalé comme une croix en Tau.
Un "fou de Dieu "y est mis en scène. Le personnage a un bassin en distorsion.
Nimbé d'une lumière quasi céleste comme celle d' un rayon de soleil traversant le vitrail d'une cathédrale, il exprime une joie mystique intense.
Il tient dans ses mains un rectangle de papier calque marouflé sur le tableau qui évoque la finesse des parchemins utilisés au moyen-âge et sur lesquels étaient peintes les enluminures.
L'empreinte du corps nu est une allusion implicite au saint suaire de Turin mais fait en même temps référence aux travaux de Yves Klein.
J'ai en effet pris et utilisé l'empreinte du corps du modèle par application sur le papier.
En latin, le mot décembre signifie dixième mois de l'année mais c'est le douzième dans notre calendrier actuel.
DÉCEMBRE est plein d'humour et d'ironie. il est complémentaire au tableau "NOVEMBRE".
L'utilisation du vert sombre est à nouveau présente.Le fond du tableau est composé d'un kimono japonais vert sombre étalé comme une croix en Tau.
Un "fou de Dieu "y est mis en scène. Le personnage a un bassin en distorsion.
Nimbé d'une lumière quasi céleste comme celle d' un rayon de soleil traversant le vitrail d'une cathédrale, il exprime une joie mystique intense.
Il tient dans ses mains un rectangle de papier calque marouflé sur le tableau qui évoque la finesse des parchemins utilisés au moyen-âge et sur lesquels étaient peintes les enluminures.
L'empreinte du corps nu est une allusion implicite au saint suaire de Turin mais fait en même temps référence aux travaux de Yves Klein.
J'ai en effet pris et utilisé l'empreinte du corps du modèle par application sur le papier.
LE CALENDRIER (22)
Les mois de SEPTEMBRE et OCTOBRE sont restés jusqu'à présent à l'état de phrases , de gribouillis et d'entassements d'images d'inspiration découpées et collées dans des carnets.
Le mois de NOVEMBRE est sous influence japonaise. Le fond avec la répétition du motif géométrique japonais est en papier marouflé sur le bois comme le serait un écran de paravent. Les deux carrés qui entourent l'homme sont comme deux empreintes de tampons asiatiques.
Dans ce tableau le personnage m'est en quelque sorte étranger et ce pour la première fois dans la série. Peu à peu en cours de travail le tableau est devenu autonome. Il a dicté sa vérité.
Le foulard mordu aux commissures des lèvres est un signe de plaisir érotique extrême dépeint dans de très nombreuses estampes nippones
La référence au plaisir sexuel du visage est contrebalancée par le pénis enveloppé de pansements de l'individu assis. Les bras sont liés dans le dos et la multiplication des jambes évoquent une douleur violente ressentie dans le bassin.
C'est aussi un attitude d'attente. Le gris domine pour accentuer un état de léthargie engendré par l’anesthésie nécessaire à l'opération chirurgicale pratiquée.
Les interrogations sur la virilité, sur le caractère offensif du membre masculin et la peur de la perte du désir sont au cœur de ce tableau.
NOVEMBRE
1993
Technique mixte sur bois aggloméré
150 x 200
Le mois de NOVEMBRE est sous influence japonaise. Le fond avec la répétition du motif géométrique japonais est en papier marouflé sur le bois comme le serait un écran de paravent. Les deux carrés qui entourent l'homme sont comme deux empreintes de tampons asiatiques.
Dans ce tableau le personnage m'est en quelque sorte étranger et ce pour la première fois dans la série. Peu à peu en cours de travail le tableau est devenu autonome. Il a dicté sa vérité.
Le foulard mordu aux commissures des lèvres est un signe de plaisir érotique extrême dépeint dans de très nombreuses estampes nippones
La référence au plaisir sexuel du visage est contrebalancée par le pénis enveloppé de pansements de l'individu assis. Les bras sont liés dans le dos et la multiplication des jambes évoquent une douleur violente ressentie dans le bassin.
C'est aussi un attitude d'attente. Le gris domine pour accentuer un état de léthargie engendré par l’anesthésie nécessaire à l'opération chirurgicale pratiquée.
Les interrogations sur la virilité, sur le caractère offensif du membre masculin et la peur de la perte du désir sont au cœur de ce tableau.
NOVEMBRE
1993
Technique mixte sur bois aggloméré
150 x 200
mardi 7 octobre 2014
lundi 6 octobre 2014
dimanche 5 octobre 2014
jeudi 2 octobre 2014
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